...est présent dans plus de 200 000 bâtiments
...fournit 15 % de l’énergie consommée par les bâtiments
...est responsable de 63 % des GES émis par les bâtiments
Le gaz consommé au Québec est à 99 % du gaz fossile, une source d’énergie risquée pour l’environnement et qui contribue au réchauffement climatique. En polluant l’air ambiant, il met en péril la santé respiratoire de la population, en particulier celle des enfants et des personnes vulnérables. Entièrement importé, le gaz fossile creuse le déficit commercial du Québec et présente plus d’incertitudes pour le budget des ménages en raison de la volatilité des prix.
Dès maintenant, le Québec peut se mettre en marche pour sortir entièrement le gaz de ses bâtiments résidentiels, commerciaux et institutionnels. Il est important d’agir sans tarder afin d’être en mesure de planifier adéquatement ce changement avec les communautés et de garantir une transition juste pour les travailleuses et les travailleurs dont les emplois seront touchés par ces transformations sociales.
...est présent dans plus de 200 000 bâtiments
...fournit 15 % de l’énergie consommée par les bâtiments
...est responsable de 63 % des GES émis par les bâtiments
Il existe des solutions de rechange beaucoup plus sûres pour l’environnement, pour le climat, pour la santé et pour le portefeuille.
Le projet de loi 81 représente une occasion cruciale de renforcer l’autonomie municipale et d’accélérer la transition énergétique du Québec. Toutefois, sans des balises claires et des mécanismes de collaboration transparents, il risque d’ouvrir la porte à une ingérence provinciale qui freinerait l’ambition climatique des municipalités. Pour véritablement sortir du gaz et protéger la santé de nos communautés, nous devons nous assurer que cette réforme ne serve pas à affaiblir les règlements environnementaux locaux, mais bien à les soutenir et à les bonifier.
Le projet de loi 81 représente une occasion cruciale de renforcer l’autonomie municipale et d’accélérer la transition énergétique du Québec. Toutefois, sans des balises claires et des mécanismes de collaboration transparents, il risque d’ouvrir la porte à une ingérence provinciale qui freinerait l’ambition climatique des municipalités. Pour véritablement sortir du gaz et protéger la santé de nos communautés, nous devons nous assurer que cette réforme ne serve pas à affaiblir les règlements environnementaux locaux, mais bien à les soutenir et à les bonifier.
Emmanuelle Rancourt
Coordonnatrice, Coalition Sortons le gaz!
Le projet de loi 81 représente une occasion cruciale de renforcer l’autonomie municipale et d’accélérer la transition énergétique du Québec. Toutefois, sans des balises claires et des mécanismes de collaboration transparents, il risque d’ouvrir la porte à une ingérence provinciale qui freinerait l’ambition climatique des municipalités. Pour véritablement sortir du gaz et protéger la santé de nos communautés, nous devons nous assurer que cette réforme ne serve pas à affaiblir les règlements environnementaux locaux, mais bien à les soutenir et à les bonifier.
Le projet de loi 81 représente une occasion cruciale de renforcer l’autonomie municipale et d’accélérer la transition énergétique du Québec. Toutefois, sans des balises claires et des mécanismes de collaboration transparents, il risque d’ouvrir la porte à une ingérence provinciale qui freinerait l’ambition climatique des municipalités. Pour véritablement sortir du gaz et protéger la santé de nos communautés, nous devons nous assurer que cette réforme ne serve pas à affaiblir les règlements environnementaux locaux, mais bien à les soutenir et à les bonifier.
Emmanuelle Rancourt
Coordonnatrice, Coalition Sortons le gaz!
On n’a plus besoin de brûler des énergies fossiles, de polluer l’air qu’on respire et de détruire le climat pour bien vivre. Il faut planifier l’extinction du gaz “naturel” fossile dès maintenant. La crise climatique est la menace numéro un à la santé du XXIe siècle et sera proportionnelle à nos émissions de GES. Il faut AGIR maintenant.
On n’a plus besoin de brûler des énergies fossiles, de polluer l’air qu’on respire et de détruire le climat pour bien vivre. Il faut planifier l’extinction du gaz “naturel” fossile dès maintenant. La crise climatique est la menace numéro un à la santé du XXIe siècle et sera proportionnelle à nos émissions de GES. Il faut AGIR maintenant.
Dre Geneviève Ferdais
Omnipraticienne GMF du Sud-Ouest et CLSC Verdun, chargée d’enseignement clinique à l’UdeM
On n’a plus besoin de brûler des énergies fossiles, de polluer l’air qu’on respire et de détruire le climat pour bien vivre. Il faut planifier l’extinction du gaz “naturel” fossile dès maintenant. La crise climatique est la menace numéro un à la santé du XXIe siècle et sera proportionnelle à nos émissions de GES. Il faut AGIR maintenant.
On n’a plus besoin de brûler des énergies fossiles, de polluer l’air qu’on respire et de détruire le climat pour bien vivre. Il faut planifier l’extinction du gaz “naturel” fossile dès maintenant. La crise climatique est la menace numéro un à la santé du XXIe siècle et sera proportionnelle à nos émissions de GES. Il faut AGIR maintenant.
Dre Geneviève Ferdais
Omnipraticienne GMF du Sud-Ouest et CLSC Verdun, chargée d’enseignement clinique à l’UdeM
En tant que pédiatre et mère de famille, je suis scandalisée du silence qui a trop longtemps entouré les méfaits du gaz “naturel “ sur la santé des enfants. La production de dioxyde d’azote, de monoxyde de carbone ainsi que de particules de cuisson par les cuisinières à gaz et par les systèmes de chauffage mal entretenus a un impact comparable à celui du tabagisme passif, en augmentant significativement le risque de développer l’asthme infantile de 14 à 30 % et le taux d’hospitalisation des enfants atteints. Il est temps de passer à l’action pour la santé de nos enfants.
En tant que pédiatre et mère de famille, je suis scandalisée du silence qui a trop longtemps entouré les méfaits du gaz “naturel “ sur la santé des enfants. La production de dioxyde d’azote, de monoxyde de carbone ainsi que de particules de cuisson par les cuisinières à gaz et par les systèmes de chauffage mal entretenus a un impact comparable à celui du tabagisme passif, en augmentant significativement le risque de développer l’asthme infantile de 14 à 30 % et le taux d’hospitalisation des enfants atteints. Il est temps de passer à l’action pour la santé de nos enfants.
Dre Michèle Vartian
Pédiatre et membre de l'Association québécoise des médecins pour l'environnement (AQME)
En tant que pédiatre et mère de famille, je suis scandalisée du silence qui a trop longtemps entouré les méfaits du gaz “naturel “ sur la santé des enfants. La production de dioxyde d’azote, de monoxyde de carbone ainsi que de particules de cuisson par les cuisinières à gaz et par les systèmes de chauffage mal entretenus a un impact comparable à celui du tabagisme passif, en augmentant significativement le risque de développer l’asthme infantile de 14 à 30 % et le taux d’hospitalisation des enfants atteints. Il est temps de passer à l’action pour la santé de nos enfants.
En tant que pédiatre et mère de famille, je suis scandalisée du silence qui a trop longtemps entouré les méfaits du gaz “naturel “ sur la santé des enfants. La production de dioxyde d’azote, de monoxyde de carbone ainsi que de particules de cuisson par les cuisinières à gaz et par les systèmes de chauffage mal entretenus a un impact comparable à celui du tabagisme passif, en augmentant significativement le risque de développer l’asthme infantile de 14 à 30 % et le taux d’hospitalisation des enfants atteints. Il est temps de passer à l’action pour la santé de nos enfants.
Dre Michèle Vartian
Pédiatre et membre de l'Association québécoise des médecins pour l'environnement (AQME)
Nous possédons la technologie et le savoir-faire pour assurer la sortie des énergies fossiles de la filière du bâtiment québécois. N’y manquent que la volonté et le cadre réglementaire, sans perdre de vue les exigences de sobriété du bâti.
Nous possédons la technologie et le savoir-faire pour assurer la sortie des énergies fossiles de la filière du bâtiment québécois. N’y manquent que la volonté et le cadre réglementaire, sans perdre de vue les exigences de sobriété du bâti.
Paul-Antoine Troxler
Directeur, Éducation et recherche, Bâtiment durable Québec
Nous possédons la technologie et le savoir-faire pour assurer la sortie des énergies fossiles de la filière du bâtiment québécois. N’y manquent que la volonté et le cadre réglementaire, sans perdre de vue les exigences de sobriété du bâti.
Nous possédons la technologie et le savoir-faire pour assurer la sortie des énergies fossiles de la filière du bâtiment québécois. N’y manquent que la volonté et le cadre réglementaire, sans perdre de vue les exigences de sobriété du bâti.
Paul-Antoine Troxler
Directeur, Éducation et recherche, Bâtiment durable Québec
Plus de 80% des études publiées à ce jour démontrent une association claire entre la fracturation hydraulique (dont vient en grande partie le gaz utilisé au Québec) et plusieurs impacts sur la santé humaine. Il est aussi démontré que les cuisinières au gaz augmentent les risques de développer des problèmes pulmonaires et cardiaques et émettent des polluants même lorsqu’elles ne sont pas allumées. Sortir du gaz, c’est contribuer à améliorer la santé humaine de concert avec celle de l’environnement dans lequel nous vivons.
Plus de 80% des études publiées à ce jour démontrent une association claire entre la fracturation hydraulique (dont vient en grande partie le gaz utilisé au Québec) et plusieurs impacts sur la santé humaine. Il est aussi démontré que les cuisinières au gaz augmentent les risques de développer des problèmes pulmonaires et cardiaques et émettent des polluants même lorsqu’elles ne sont pas allumées. Sortir du gaz, c’est contribuer à améliorer la santé humaine de concert avec celle de l’environnement dans lequel nous vivons.
Dr Éric Notebaert
Urgentologue et vice-président de l'Association québécoise des médecins pour l'environnement (AQME)
Plus de 80% des études publiées à ce jour démontrent une association claire entre la fracturation hydraulique (dont vient en grande partie le gaz utilisé au Québec) et plusieurs impacts sur la santé humaine. Il est aussi démontré que les cuisinières au gaz augmentent les risques de développer des problèmes pulmonaires et cardiaques et émettent des polluants même lorsqu’elles ne sont pas allumées. Sortir du gaz, c’est contribuer à améliorer la santé humaine de concert avec celle de l’environnement dans lequel nous vivons.
Plus de 80% des études publiées à ce jour démontrent une association claire entre la fracturation hydraulique (dont vient en grande partie le gaz utilisé au Québec) et plusieurs impacts sur la santé humaine. Il est aussi démontré que les cuisinières au gaz augmentent les risques de développer des problèmes pulmonaires et cardiaques et émettent des polluants même lorsqu’elles ne sont pas allumées. Sortir du gaz, c’est contribuer à améliorer la santé humaine de concert avec celle de l’environnement dans lequel nous vivons.
Dr Éric Notebaert
Urgentologue et vice-président de l'Association québécoise des médecins pour l'environnement (AQME)
La décarbonation des bâtiments passe par l’électrification du chauffage. Pour y parvenir, on doit utiliser une production de chaleur efficace soit des thermopompes et, au sein même des bâtiments, une production localisée de l’électricité par énergie renouvelable (solaire) et une saine gestion de la pointe (accumulateurs électriques et thermiques). Ces solutions sont matures et prêtes à être implantées au Québec.
La décarbonation des bâtiments passe par l’électrification du chauffage. Pour y parvenir, on doit utiliser une production de chaleur efficace soit des thermopompes et, au sein même des bâtiments, une production localisée de l’électricité par énergie renouvelable (solaire) et une saine gestion de la pointe (accumulateurs électriques et thermiques). Ces solutions sont matures et prêtes à être implantées au Québec.
Martin Roy
Ingénieur, Président Martin Roy et Associés
La décarbonation des bâtiments passe par l’électrification du chauffage. Pour y parvenir, on doit utiliser une production de chaleur efficace soit des thermopompes et, au sein même des bâtiments, une production localisée de l’électricité par énergie renouvelable (solaire) et une saine gestion de la pointe (accumulateurs électriques et thermiques). Ces solutions sont matures et prêtes à être implantées au Québec.
La décarbonation des bâtiments passe par l’électrification du chauffage. Pour y parvenir, on doit utiliser une production de chaleur efficace soit des thermopompes et, au sein même des bâtiments, une production localisée de l’électricité par énergie renouvelable (solaire) et une saine gestion de la pointe (accumulateurs électriques et thermiques). Ces solutions sont matures et prêtes à être implantées au Québec.
Martin Roy
Ingénieur, Président Martin Roy et Associés
Vous pouvez contribuer à sortir le gaz des bâtiments du Québec. Rejoignez le mouvement!